Recherche au Parvis : L’Avant-Garde Créative
La recherche au Parvis International College of Arts n’est pas un exercice austère confiné à des tours poussiéreuses, mais une aventure effrénée, un peu comme une chasse au trésor dans les catacombes parisiennes, où chaque découverte – qu’elle soit un algorithme rebelle ou une toile subversive – illumine les ombres de l’innovation. Inspirés par les labs interdisciplinaires de l’Université PSL et de l’IRCAM, nos initiatives fusionnent arts, informatique et sciences sociales, avec 20 % du budget dédié à des projets étudiants. Nos chercheurs, un mélange de professeurs émérites et de doctorants voraces, publient dans des revues comme “Leonardo” ou “ACM Transactions on Graphics”, prouvant que l’art n’est pas décoratif, mais disruptif.
Ici, la recherche est collaborative et imparfaite : des jams sessions où l’on itère sur un prototype jusqu’à l’aube, acceptant que le premier essai soit un gribouillis génial. Thèmes phares ? L’IA éthique en design, le design urbain post-climat, et les narratifs digitaux décoloniaux – tout ancré dans le contexte parisien, avec grants de l’UE et du CNRS.
Centres de Recherche et Labs
Notre Centre pour l’Informatique Créative (CIC) est le pouls battant : équipé de GPUs pour l’entraînement de modèles GAN appliqués à la génération d’art abstrait, il héberge des projets comme “Echoes of Paris”, une IA qui recompose des symphonies visuelles à partir de données urbaines. Doctorants y explorent le machine learning pour restaurer des fresques du XIXe, fusionnant computer vision et conservation patrimoniale – une thèse récente a sauvé une œuvre oubliée au Musée d’Orsay.
Le Lab de Design Industriel et Durable (LDID) simule des écosystèmes via software comme SolidWorks, focalisé sur des matériaux bio-sourcés : imaginez des chaises imprimées en algues, testées pour leur cycle de vie. Recherches en cours : “Bio-Mimétisme Urbain”, modélisant des façades végétales inspirées du Sacré-Cœur pour mitiger la chaleur citadine, avec partenariats au Jardin des Plantes.
Le Institut des Médias Transmédia (IMT) décortique les flux narratifs : projets sur la réalité augmentée pour des expositions immersives, comme une app qui superpose l’histoire révolutionnaire sur les rues du Marais via ARKit. Une étude 2024 a analysé comment les memes influencent l’activisme, publiée dans “New Media & Society”.
Projets Étudiants et Financements
Les étudiants sont au cœur : masters initient des recherches via “Parvis Grants” (jusqu’à 5 000 €), comme un duo lycée-université codant un bot pour générer de la poésie visuelle à partir de tweets parisiens. Nos undergrads participent à des hackathons annuels, primés à la Biennale de Venise – un projet 2023 sur l’IA thérapeutique a remporté le Prix de l’Innovation Créative.
Financements ? 15 projets actuels subventionnés par Horizon Europe, plus collaborations avec Google Arts & Culture. Nos postdocs, souvent d’Oxford ou MIT, mentorent avec une touche personnelle : “J’ai raté mon premier papier, mais c’est ce qui m’a rendue meilleure.”
Publications et Impact Sociétal
Bilan 2024 : 45 publications, 12 conférences (SIGGRAPH inclus), et 3 brevets en design algorithmique. Impact ? Nos recherches alimentent des expos au Centre Pompidou, et des outils open-source pour artistes indépendants. Une étude sur l’accessibilité digitale a influencé les guidelines du Ministère de la Culture.
Au Parvis, la recherche est une flamme vacillante : parfois faible, souvent ardente, toujours éclairante. Elle nous rappelle que l’inconnu, avec ses faux pas, est le terreau des révolutions.